
Les
Romans
de

Jean Pierre Paumier
Les lecteurs ont écrit :
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La Vie de Violette
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Le Comptoir de la Culture | Facebook 20 Février 2022
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La quatrième de couverture étant très détaillée, je ne vois pas ce que je pourrais ajouter sur le sujet de cet ouvrage.
L'auteur nous conte le destin de Violette, jeune fille Bretonne entre 1909 et 1969. Il décrit à merveille la condition féminine au début du XXème siècle, la vie ô combien difficile en milieu rural à cette époque et les horreurs de la guerre.
Au fil des souvenirs de notre héroïne, nous redécouvrons avec plaisir les us et coutumes d'antan, les conditions de travail dans les usines, les conflits et l'après-guerre.
J'ai bien aimé ce roman historique très bien écrit et documenté mêlant amour et Histoire de notre pays.
Je le recommande aux amateurs du genre qui, comme moi, passeront un bon moment de lecture.
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La malédiction de l'Ankou tomes I et II
Melvita
Grenoble
A LIRE ABSOLUMENT !
J.M.Thibaux et J.P.Paumier ont écrit à quatre mains un roman âpre, violent, enraciné dans la terre, celle de Bretagne et de Provence, mais aussi celle ensanglantée des tranchées, avec des héros bien campés et de nombreux personnages, secondaires mais tout aussi attachants. L'Ankou tient une place de choix, dans son rôle terrifiant de faucheur récoltant sa moisson d'âmes, un tribut que lui offre la folie des hommes en guerre. Un Ankou qui, au final, se montre presque "humain" car il est sans haine, ne fait que remplir sa "tâche" bien lourde. Un roman d'une puissance évocatrice hallucinante où l'horreur, la rudesse et le suspense côtoient l'émotion et la tendresse, où l'on espère que l'amour sera plus fort que la mort. Un livre dont on ne sort pas "indemne", qui vous colle à la peau, et dont j'attends avec impatience le second tome. C'est aussi le plus impressionnant et réaliste "documentaire" sur 14-18 que je connaisse. A lire absolument !
Katia
Orléans
Épique et décapant
Je m'intéresse à tout ce qui touche Ankou. Mais là, j'ai été époustouflée par l'histoire de cette malédiction qui a les accents du Seigneur des Anneaux (Tolkien)et de la Terre de Zola. Les deux auteurs que je ne connaissais pas m'ont transportée le temps d'une nuit dans un monde de folie où se jouent des destins d'exception. A l'écran, ce serait le film le plus cher du cinéma. Mais au-delà de la fresque, il y a une foule de personnages humbles et attachants, des êtres cruels ou héroïque. Bien sûr l'amour y a sa place. Je dis bravo aux deux poilus qui ont commis ce chef d’œuvre. Katia
Melvita
Grenoble
ENCORE PLUS FORT QUE LE PRECEDENT TOME
Étonnante suite de cette grande fresque qu'est "La Malédiction de l'Ankou". Où l'on voit les hommes continuer à s’entre-déchirer dans une terrible guerre et lutter contre un nouvel ennemi : la grippe espagnole. Où l'Ankou engrange inlassablement son tribut d'âmes et... en négocie certaines ! Où l'amour tant attendu peut s'épanouir sur l'âpre et truculente terre bretonne. Où une poule est une héroïne. Où certains personnages malfaisants découvrent leur rédemption... et deviennent, de ce fait, sympathiques. Où l'on a droit à de surprenantes apparitions, telles celle du jeune Hitler ou de l'abbé Saunière, toujours en quête sur la piste de l'ésotérisme et de l'or. Et une fin qui vaut à elle seule son pesant d'or ! Un récit qui coule aussi facilement que les plumes alertes, sombres ou malicieuses de ses auteurs, Jean-Michel Thibaux et Jean-Pierre Paumier. Une maestria qui nous fait regretter de tourner la dernière page.
Magnifique, tragique, leçon de vie.
J'avais hâte de lire le second tome après avoir dévoré le premier. L'histoire de cet Ankou est prenante jusqu'au point final et j'ai eu la larme à l’œil en refermant ce livre qui est porteur d'espoir. Les personnages prennent de l'épaisseur, l'intrigue se complique avec l'étonnante arrivée de l'abbé Saunière. Ce n'est sûrement pas un hasard puisqu'à la clef, il y a encore une histoire de trésor: celui de Léniscat. Germain, le druide, la sorcière Inna, la poule, le provençal et la bretonne, la guerre, le secret de Laniscat, les templiers, la grippe espagnole. tous les ingrédients sont réunis pour nous tenir en haleine. C'est un livre qui devrait rentrer au programme scolaire et universitaire.Je vais le faire lire à mes élèves. Je n'arrive pas à le classer dans un genre. On peut dire cependant que c'est de la grande littérature.
Vraiment bien écrit et captivant.
Par j-l B TOP 100 COMMENTATEURS le 25 octobre 2011
Je remercie un ami « virtuel » pour m'avoir très cordialement offert ce roman magnifique de terroir et d'atmosphère. Comme d'habitude, je ne raconterai rien de l'histoire, le résumé est bien fait et je trouve que trop raconter, dénaturerait votre lecture.
Ce récit est composé de deux tomes. Celui-ci, nous plonge dans la Bretagne des terres au début du siècle dernier quand la GG éclate. Nous suivons plusieurs personnages principaux et secondaires dans leurs quotidiens « chamboulés » par ce cataclysme. Les auteurs privilégient deux atmosphères typiques de cette Bretagne à cette époque ; une ambiance de travail acharné : celui de la terre, de l'élevage mais aussi le travail à la maison et à la ferme très lourd des femmes et une atmosphère surnaturelle faite du mélange d'une religion catholique pratiquée excessivement et la croyance ancestrale en des forces surnaturelles- dont l'Ankou, le messager de la mort mais aussi par exemple croyances sur le pouvoir négatif mais aussi positif des forces telluriques , des menhirs, des dolmens et des druides.
Les chapitres sont courts et percutants, ceux sur la GG sont d'un réalisme et d'une exactitude parfaits. Nous terminons cette lecture en étant fin des années 15. Vivement le deuxième tome.
5.0 étoiles sur 5
Il est bon de se rappeler que la guerre 14-18 ....
Par KOEHN David le 7 octobre 2013
Je me suis trouvé 19 mois en stage en Arras. Loin des miens, pour ma première fin d'année, dans le Nord, j'ai été contraint de téléphoner au tribunal : une jeune mère célibataire allait passer le réveillon dehors, son enfant dans un landau, par un temps exécrable. J'ai passé le réveillon avec ceux qui était « de garde » pour veiller sur le bien être des fêtards et des autres moins chanceux. Le jeune greffier du tribunal a jugé bon de me faire visiter ce Nord et même le Sud de la Belgique. Lors de ces sorties, en Somme, .., j'ai pris conscience de ce qu'a pu être la guerre de 1914 - 1918, tant il y a de cimetières aux milliers des croix blanches sur tapis vert. Il faut voir pour comprendre : cimetière US, Indien, Marocain, Sénégalais, Anglais, New-Zélandais, Australien, ..., champs clos encore bousculés pas les bombes sous une mince couche de terre et d'herbe, ...
Avec ces 2 tomes de « la Malédiction de l'Ankou », je me suis trouvé dans l'absurde : l'ambiance de ce que fut cette guère de boue, de pluie, de froidures, de tranchées, de gaz, de bombes, de blessés, de maladies, de famines, de ... toute première guerre « moderne », imposée, des 2 côtés, à une « jeunesse » qui, envers et contre tout, a connu de rares « miracles » dans les tranchées : un « flûtiau » jouant des airs provençaux ou bretons et un harmonica essayant de suivre le rythme, ..., des chants de Noël, ... et surtout de l'incompétence des chefs militaires qui ont favorisé la boucherie, les révoltes, les tribunaux d'exception, l'incompréhension et l'injustice, la grippe espagnole,
Il y a bien plus que cela, la vie à l'arrière, surtout en Bretagne avec un druide. Mais là,
J. M. THIBAUX, l'un des auteurs, dans le 2ème tome s'est lancé dans son péché mignon et nous embrouille le ciboulot. Dommage. (L'Ankou est la « faucheuse ».)
Par Victaureau TOP 500 COMMENTATEURS le 3 avril 2011
Le coin de France, c'est la Bretagne et on peut se demander que vient faire là-dedans Jean-Michel THIBAUX qui écrit si bien sur sa Provence: c'est sans doute parce qu'il s'est associé à Jean-Pierre PAUMIER.
Un provençal il y en a un c'est Justin, jeune gars, orphelin, sans le sou qui se trouve mobilisé comme la plupart pour battre le boche. Des bretons il y en a évidemment pas mal, des jeunes aussi, très jeunes qui ont déserté (bien involontairement) leurs terres de Bretagne pour venir taquiner l'Ankou (la mort) dans les tranchées du Nord de la France.
Les deux auteurs ont choisi, aussi, de faire vivre cette Bretagne à l'écart du front et de décrire par le menu la vie de cet éleveur de chevaux dont les bêtes ont été réquisitionnées et les quatre fils appelés à combattre, ainsi que les manoeuvres de ce notaire local indélicat décidé à les ruiner pour parachever leur infortune en utilisant l'ignorance et la rancoeur d'un pauvre bougre alcoolique, sois disant déshérité par sa mère..
Ils ont aussi entrouvert la porte de l'inacceptable chez une riche veuve, très croyante qui vient d'apprendre qu'elle a perdu le dernier de ses fils sur le front...et lors de ses obsèques, n'en pouvant plus de cette dignité mal placée, somme Dieu , devenue soudain menaçante, de les lui rendre...
Le plus difficilement supportable est qu'on assiste, pas comme si on y était, parce que je pense que c'est inimaginable, à cette Guerre terrible ou on envoie au casse pipe toute une section pour reconquérir quelques pouces de terrain et décorer de la Croix de Guerre quelques survivants, quand il y en a, ou Citer à l'Ordre de la Nation (ça leur faisait une belle jambe).
Il les font vivre, la peur au ventre dans la crainte des offensives de l'ennemi en face certes, mais autant dans celle des officiers qui n'hésitaient pas à tirer dans le dos des récalcitrants aux ordres insensés...Vivre dans la boue, patauger dans le sang de leurs camarades; certains trouvent cela à leur goût, tel cet illuminé qui aiguise en permanence sa baïonnette et participe non sans un certain plaisir à cette horrible boucherie dont les auteurs finissent par détourner aussi les yeux , en déphasant complètement le récit pour laisser les soldats parler des parties de cartes, des filles quand la pression est un peu moins forte, mais pire que tout, de ces chants sortis des poitrines de ces jeunes français et reprises en choeur par les jeunes soldats allemands à quelques mètres..
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le 17 décembre 2011
On retrouve dans ce deuxième tome, nos personnages, fin des années 15 -voir tome I pour situer les protagonistes de ce roman.
Les chapitres consacrés à la GG sont toujours aussi détaillés et réalistes, de vrais reportages de guerre. Malheureusement, les autres chapitres ne sont plus consacrés au quotidien d'un petit village breton mais à une chasse au trésor où personnages réels-ex : l'abbé Saunière font leurs apparitions. Les auteurs mélangent l'histoire du trésor de Rennes le Château avec un trésor situé en Bretagne et c'est cette histoire qui d'ailleurs ne se termine pas, qui ne m'a pas convaincu.
Ajouter à cela, une fin fort moraliste et un peu mièvre avec même un épilogue sous forme d'annuaire.
Le premier volet m'avait enthousiasmé, le deuxième m'a vraiment laissé sur ma faim mais peut- être que j'étais simplement trop exigeant vu la qualité du premier tome.
Hector
13 juillet 2015
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Pour qui aime, la Bretagne, les bretons, les "cotes du nord", et respectent nos grands parents qui ont vécus et pour certains, gazés, morts à la grande guerre(boucherie).
une grande fresque, cruelle, mais résolument humaine et riche en détails sur la vie en campagne bretonne, et, sur les champs de batailles de la Belgique à Verdun.
Les 9 Vies de lucifer
-Un livre magnifique et émouvant. Sans doute le roman le plus tendre de l'année. Un bel hommage à nos amis les chats et aux animaux en général.
-Les 9 vies de Lucifer est un roman illustré avec des planches couleur. C'est l'histoire de Lucifer, très vieux chat au seuil de sa dernière mort qui raconte ses 9 vies à un chaton. Toute l'histoire de l'humanité -au travers de ses plus grands portraits- est ainsi parcourue au rythme des 9 réincarnations de Lucifer. C'est le roman le plus touchant de l'année.
Les parfums de Phaselis
Ce livre donne envie de vivre a Phaselis
Justesse du ton et finesse des dialogues, l'auteur a dû explorer lui-même les ruines de cette ville antique en s'imprégnant de son passé, pour retracer le quotidien et rendre la vie à ses personnages. Mais, c'est avant tout l'histoire d'une famille qui a su s'imposer dans le monde impitoyable du commerce au temps des premiers empereurs romains. Un récit incroyablement documenté. A lire.
Les tablettes de Ninive
Surprenant
par jibook le 07/04/2011
Surprenant roman qui mêle recherche archéologique , enquête policière, action et rebondissements, entre vérité historique et interprétation imaginaire de données réelles, le tout dans une langue d'accès facile et qui se lit avec plaisir.
Des annexes permettent d'expliciter les données archéologiques, linguistiques et diverses hypothèses.
Les pitres selon Luc
Un humour décalé et érudit à découvrir
Enfin, un ouvrage vraiment drôle à souhait. Cette histoire n'est certes ni politiquement, ni religieusement correcte, mais c'est un régal à lire. Et ce qui ne gâche rien, cet auteur, outre sa liberté de ton, fait preuve d'une grande érudition. Voilà une façon tout à fait originale pour faire connaissance avec des personnages historiques tels que Léonard de Vinci, Albert Einstein, Néron et bien d'autres encore.
une écriture fouillée
Pas terrible. Du sous Pierre Desproges fade. Dommage car le sujet en soi est bon. J'ai réussi à tout lire, mais jamais j'ái pris mon pied. Je n 'ai pas non plus l'impression que ce livre a été écrit d'une traite. En gros un bon bouquin à lire dans les toilettes.
Le blog d'une lectrice assidue :
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Merci à tous les lecteurs et à ceux qui ont pris quelques minutes pour écrire ce qu'ils pensaient de ces romans. Ce qui précède n'est pas une sélection, mais quelques commentaires pris "en vrac" sur les sites d'Amazon, Chat-Pitre et autres FNAC.
J'imagine que ceux à qui ces romans n'ont pas plu ont évité de le dire, et je les en remercie d'autant.
Il est toujours important pour quelqu'un qui écrit seul dans son coin d'avoir des nouvelles de ses lecteurs. Les salons du livre se raréfiant, nous autres pauvres tâcherons de la littérature, avons de moins en moins de contacts avec nos lecteurs et c'est bien triste. C'est pourquoi nous somme toujours heureux de savoir que l'on à provoqué des réactions chez ceux qui ont pris la peine de nous lire.
Bien à vous,
Jean Pierre Paumier